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Les veillées d’un fouteur, 1832, Bandeau de début de chapitre
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LE PARADIS.


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Je suis damné la chose est sûre,
Je pine, je bois, je censure,
Et l’âme va tout de travers
Quand on sait aligner deux vers :
Ainsi la mienne est en otage,
Et n’a que l’enfer pour partage,
Mais je crains trop ces lieux maudits,
Et je me crée un paradis.

Vignette roue 8 rayons

Je n’irai pas pêcheur imonde,
L’attendre hélas ! dans l’autre monde,