Page:Les vacances au château – Le fétichisme en amour, 1907.djvu/70

Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 69 —


„satyre, cette verge gonflée, et la suce avec componction, il se relève en se léchant les lèvres et cède sa place au second, qui s’agenouille à son tour et prend dans sa bouche cette verge qui bandait toujours ; il la suce quelques instants et reçoit la deuxième éjaculation ; le troisième, le quatrième se succèdent, en procédant comme les précédents et arrachant au jeune pâtre des soupirs de plaisir et du sperme qui devenait plus rare. Au cinquième, l’érection fait défaut. Mais les vampires suçaient toujours, tous y passèrent, les uns après les autres, mais les soupirs de bonheur firent place aux cris de douleur, car le dixième, furieux de trouver la place vide, suçait avec une telle frénésie, mordait le gland avec une telle rage, que sa bouche ne put obtenir que du sang ; — ainsi finit le supplice de l’épuisement, laissant le jeune homme évanoui, la tête roulant