Page:Les vacances au château – Le fétichisme en amour, 1907.djvu/67

Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 66 —


„se dessinèrent sur la peau fine du pâtre, ses cris terribles s’étranglèrent dans sa gorge, les martinets marchaient toujours, striant les reins et les cuisses ; tout à coup, une ligne sanglante apparut, puis des gouttes vermeilles brillèrent, ruisselèrent plus abondantes, coulèrent le long des fesses, des cuisses ; les cordelettes s’imprimaient en creux, se rougissant dans les sillons sanguinolents, qu’elles formaient dans la peau meurtrie. Le supérieur fait signe de cesser le supplice, voyant le patient prêt à s’évanouir. On lui administre un cordial, on le détache et on le fait tenir debout, en l’appuyant contre une stalle. Phénomène étrange, la verge du pauvre jeune homme bandait terriblement, on voyait le gland turgescent, qui menaçait de faire éclater la peau du prépuce. À ce moment, le supérieur demande la verge et la palette. Un moine tend aussitôt un petit jonc