Page:Les vacances au château – Le fétichisme en amour, 1907.djvu/198

Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 121 —

„oh !.... oh.... Georgette.... Louis !....

Je tombai sur lui sans forces, pendant qu’il se tordait sous les flots de sperme, qui, mon engin retiré, ruisselaient le long de ses fesses....

Ce fut ma langue qui servit d’éponge.... puis, sentant que sa verge humide, poussée au plus haut point d’érection, allait épancher son foutre, je le fis retourner rapidement, je m’accroupis comme une grenouille, et, dans mon anus béant, je reçus ce doux instrument. Quelques secousses seulement, que je fis imprimer à ma croupe, me remplirent de la céleste liqueur. Ma main, placée sous mes fesses, empêchaient le sperme de se répandre ; je me relevai, et ce furent mes lèvres qui nettoyèrent cette verge adorable, maculée d’excréments de toute nature.... Au moment de partir, il me glissa son