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de sa vie, et remontaient, en le branlant à peine.... Mon vit ne pouvait rester plus longtemps dans l’état où cet amusement l’avait mis, il faisait : „mea culpa, mea maxima culpa,” sur mon ventre. D’une dernière caresse, je barbouillai de salive le trou, dans lequel j’allais pénétrer, et, à genoux, je dardais ma queue sur cette cible divine. Mes bras autour de son corps, une secousse, un coups de reins de Georges, et tout entier, j’étais logé dans les entrailles de mon adoré. Qui n’est brutal à ce moment ? je le baisais, m’enfonçant dans le réduit brûlant, voulant entrer plus avant encore.

Georges pleurait, criait : „plus fort.... oh !.... va, mon petit homme !”

Fou de délire, je le serrais à l’écraser, il me semblait que cette chair allait craquer dans le dernier spasme, qui m’agiterait.