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acquit assez de consistance, je le mets en entier dans ma bouche, je le réchauffe comme un petit serpent. Georges commence à pousser de doux soupirs.

— Oh ! mon ange, lui dis-je, quitte cette chemise, mets-toi dans ton entière nudité.

Aussitôt fait, je lui baise délicieusement ses petits seins, toutes les parties de son corps sont mordues, secouées par le plaisir que je fais passer dans ses veines ; je mordille ses couilles et je le chatouille doucement, bien doucement, et, brusquement, j’engloutis ce dard, devenu rouge de colère.

L’humidité du bout de sa queue me révèle l’arrivée du sperme, je l’arrête, je le fais se pâmer pendant deux bonnes minutes, et, lorsque le flot ne peut plus se contenir, je le reçois en entier dans ma bouche — c’est chaud — acre — délicieux !