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russe, attendait mon amie à la gare ; elle me tourmenta tellement, que je me laissais conduire à son hôtel.

Sa femme de chambre l’attendait avec un bon feu et un souper exquis, mais d’abord elle commanda un bain.

Obligée de sortir, je ne pus savoir la fin de l’histoire, je me précipitai dans la rue, j’achevai ma course, et je rentrais chez moi, toute en feu. Je me jette sur ma chaise-longue, en me représentant par la pensée les deux jeunes femmes, plongées dans leur bain parfumé, et se livrant aux plus douces caresses ; je plonge ma main dans la fente de mon pantalon, et je me branle avec frénésie, tantôt titillant mon con, tantôt le pressant à l’écraser, tantôt le roulant entre deux doigts, l’étirant, l’allongeant ; puis, mettant mon pouce dans l’antre du plaisir,