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chose aussi divine, mon cher Robert ?” dit d’un ton de langueur le blond Percy, que cette caresse avait momentanément accablé.

„Je te raconterai cela plus tard ; pour le moment, regarde donc dans quelle excitation tu m’as plongé, et vois, ce qui te reste à faire.”

Percy, en effet, contemplait ce superbe engin à la tête pourpre, qui se dressait dans toute sa virilité raide, dur comme du marbre et dont les veines gonflées semblaient prêtes à éclater sous l’afflux du sang ; il se jeta à genoux devant lui, l’embrassa, le suça, le branla avec les lèvres, avec la langue, jusqu’à ce que Robert déchargea dans sa bouche avec une exclamation de volupté. Percy avala goutte à goutte cette copieuse décharge, comme pour mieux la déguster.

Cette double caresse les ayant acca-