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D’une main leste, elle sut écarter tous les vêtements qui la gênaient, et, après avoir mis largement à nu l’impatient, avec lequel elle devait se mesurer, elle saisit son mouchoir de dentelle par le centre de linon, en laissant retomber le volant de point d’Alençon, et commença à effleurer légèrement les contours de l’organe, en promenant doucement le volant de dentelle ; puis elle s’exerça à faire sentir à la peau délicate de cette région les aspérités du fin tissu, et fit à ce byou un véritable nid de son mouchoir de dentelle. La tête rubiconde de ce membre, rutilant de luxure, s’épanouissait vigoureusement, au milieu des méandres de ce tissu aérien. La comtesse commença une masturbation lente et savante, qui arrachait à Marcel des soupirs de volupté. Sentant un soubresaut qui agitait l’organe du plaisir, elle comprit que le dénouement était proche, elle disposait, sans interrompre