Page:Les vacances au château – Le fétichisme en amour, 1907.djvu/138

Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 61 —


continuant ses baisers, la main mignonne s’exerçait par de légères caresses à augmenter la dureté du sceptre d’amour.

— Oh, mon chéri, quittez ces vêtements gênants, que je puisse vous voir et contempler à mon aise.

En une main tournée, Marcel eut fait voler habit, gilet, pantalon et chemise, et ne gardait que son jersey de soie rose, qui moulait ses formes sculpturales. La comtesse fit étendre Marcel sur sa chaise-longue et s’agenouilla devant lui. D’une main fébrile elle fit sauter tous les boutons du jersey, et plaqua ses lèvres avides sur cette chair aimée.

Couvrant la poitrine de baisers, s’arrêtant à chaque téton, qu’elle saisissait entre ses lèvres, et qu’elle tétait comme un poupon, descendant vers le ventre, qu’elle chatouilla de coups de langue, elle s’arrêta au nombril, où elle chercha à faire pénétrer la pointe de son chiffon