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dents le linon et la dentelle, dans sa rage érotique. Marcel, qui s’était retourné pour voir fuir sa déesse, la vit, mordant avec transport son mouchoir. Il s’avança de nouveau, et la pria en grâce de vouloir bien lui remettre les débris de ce mouchoir, qui serait pour lui le souvenir le plus précieux qu’il aurait au monde. La dame accédant aux désirs de l’artiste, lui tendit ce précieux chiffon, en lui disant du ton le plus séduisant : „Nous nous reverrons, je l’espère.”


Cul de lampe du livre Les vacances au château – Le fétichisme en amour
Cul de lampe du livre Les vacances au château – Le fétichisme en amour