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sachet un petit mouchoir de linon, encadré d’un magnifique point à l’aiguille, il s’en servit pour sécher les parties viriles ; avec la dentelle il enroula le gland et le frotta doucement, ce qui me procura une sensation bizarre ; ce contact de la dentelle avait je ne sais quoi de mordant, qui détermina presque une érection. Bref ! il rejeta tout cet artifice de lingerie, et commença à me masser ; sous ce prétexte, il attira à lui mes cuisses, et en toucha doucement les attaches. Sous ces doux attouchements, j’entrais tout à fait en érection, ce que voyant, mon Adonis presse mon membre de ses mains, et le frotte pour le maintenir dans cet état. Le tenant alors avec sa main, il le plaça entre ses lèvres, et le frôle de sa bouche ; puis, couvrant l’extrémité avec ses doigts, rassemblés en forme de bouton de rose, il en presse les côtés avec ses lèvres, en se servant même de