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rés, cette partie la plus précieuse de la nation, font circuler dans toutes les provinces, le poison destructeur qu’ils ont puisé dans les cons infernaux de nos modernes messalines ; tandis que d’honnêtes mères de famille maudissent la fédération, qui les plonge dans un gouffre de maux, et les prive du plaisir délicieux de foutre, et de se reproduire ; les fouteuses de paris, ces vraies boëtes de Pandore, dont le con, réceptacle de toutes les infirmités, devrait être cousu à double couture ; des branleuses dont la main couverte de gale devrait sécher à l’approche d’un vit ; des macquerelles dont le con et le cul ne faisant plus qu’une seule ouverture, représentent les bouches de l’averne et du flégeton, et exhalalent au loin le poison et la mort ; enfin, toute la gent fouteuse ose réclamer contre les bougres et les