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Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, Bandeau de début de chapitre
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CHANSON DE L’HÔPITAL TENON


I

Aux confins de Ménilmontant,
Y’a un hôpital épatant
Nul ne l’a dépassé encore
Du nom d’Tenon
On le décore.
Voilà pourquoi nous les chantons
Tous les internes,
Voilà pourquoi nous les chantons,
Tous les internes de Tenon.

II

Pour montrer qu’aucun n’est puceau
Et sait bien monter à l’assaut,


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