Ayant atteint la quarantaine,
Jugeant avoir assez (bringué),
Tinté, tinté, tintaine, tinté,
Avoir assez fait de fredaines,
Elle songea à se retirer,
Tinté, tintaine, tinté !
Elle liquida ses affaires,
Fit ses adieux au grand Paris,
Tinti, tinti, tintain, tinti,
Puis elle se dit : « la chose est claire,
J’ vais m’en aller dans mon pays,
Tinti, tintaine, tinti ! »
Alors elle vécut heureuse,
Sans regret et sans nul souci
Tinti, tinti, tintain, tinti,
Menant toujours un’ vie joyeuse,
Et s’envoyant plus d’un ami,
Tinti, tintaine, tinti !
Et quand la mort vint la surprendre,
Entre les cuiss’s d’un marmiton,
Tonton, tonton, tontaine, tonton,
Elle mourut la pine au ventre,
Le con fendu jusqu’au menton,
Tonton, tontaine, tonton !