Page:Les confédérés vérolés suivis de La calotte renversée, Les enfants de sodome et Les fredaines lubriques de J.-F. Maury, 1873.djvu/87

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

FREDAINES LUBRIQUES

DE
J** F** MAURY



Qui voudra, du doigt et de l’œil, désigner un prêtre flétri par le bon sens et la raison, l’horreur et le fléau des mœurs et de la sagesse, le type et le prototype du libertinage, l’apôtre déclaré de la luxure, honni même par les catins qui vivent publiquement du trafic de leurs mollasses appas, et qui ne le reçoivent, pour son argent, qu’à la faveur des plus épaisses ténèbres, dans l’appréhension d’être deshonorées dans l’esprit du corps, et d’être expulsées du nombre des illustres de la société ; celui-là, dis-je, n’a qu’à se trouver aux Feuillants, à l’issue d’une des séances de l’Assemblée Nationale, et indiquer J.-F. Maury ; chacun s’écriera : bravo ! bravo ! ah ! c’est bien lui ! voilà le bougre !

Qui voudra de même indiquer un frénéti-