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LES TRINITAIRES

couvent des Pères Récollets. Son successeur, Mgr François-Paul de Neuville, la fit autoriser par lettres patentes du roi (mars 1716.) Elle avait pour but la préservation des jeunes filles dont l’innocence courait des dangers imminents, au contact de parents dépravés. Pour le temporel, elle était confiée à des administrateurs séculiers. Comme nous les retrouverons plus loin, ces quelques mots suffisent ici. Dans cet article consacré aux Trinitaires, nous ne pouvions taire leur présence parmi nous.

SOURCES :

Bollandistes : Saint Jean de Matha et saint Félix de Valois.

Hélyot : Dictionnaire des Ordres religieux.

Maillarguet : Miroir des Ordres religieux.

Les Almanachs de Lyon.

Clapasson : Description de Lyon.

Chappuzeau : Lyon dans son lustre.

Guillon : Tableau historique de la ville de Lyon.

Pernetti : Les Lyonnais dignes de mémoire.

Archives du Rhône, t. VIII, page 81.

Archives municipales.