les yeux ne soit du nombre des bonnes d’enfant elle étreint trop amoureusement son cavalier et ses jambes croisées le retiennent trop bien pour que l’on doive supposer qu’elle veuille qu’il se retire au moment de la décharge.
(Ici l’explication des tableaux fut un moment suspendue par un profond soupir de la petite brune qui avait envié une heure avant le bonheur de Constance allant coucher avec son conducteur de cabriolet. Tous les regards se portèrent sur elle et l’on s’aperçut que la petite putain excitée par les tableaux et la lasciveté de leur explication, avait passé une main sous ses jupons et n’avait pu résister au désir de se branler, ce qui lui avait arraché le soupir interrupteur, elle venait de décharger. La gaîté que cet incident avait fait naître chez ces demoiselles étant un peu calmée, Nanette continua en passant au dixième tableau.)