Page:Les Veillées des maisons de prostitution et des prostituées.djvu/51

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 47 —

yeux sont fermés tant le chatouillement qu’elle éprouve est grand, elle a croisé ses jambes sur les reins de son fouteur, afin d’y joindre plus étroitement, son con n’est plus qu’un vaste réservoir de foutre, il coule à flots, elle rend trois et quatre décharges pour une : Ah !… ah !… s’écrie-t-elle, mon ami… va… va… jusqu’au fond… ah ! ah !… tu me vas au cœur… tu fous comme un ca… pi… taine… comme un ma… jor… oh ! oh !… gé…né…ral… Ce n’est qu’après l’avoir gratifié des plus beaux grades qu’en répétant une dernière fois… Ah ! je n’en puis plus, je me meure !… qu’en sentant le foutre de son amant se mêler au sien, elle en rend elle-même encore une cinquième et copieuse libation.

Quoique les militaires n’ayent jamais que des amours de passade comme ils les appellent, ils font encore une distinction entre les cuisinières bonne enfant et les chipies, les bonnes enfants sont pour eux, celles qui leur repassent de