Page:Les Veillées des maisons de prostitution et des prostituées.djvu/41

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 37 —

couilles qui promettent de devenir plus tard un vaste réservoir de semence.

Voyez, comme la bougresse que nous avons sous les yeux tortille de l’œil ; elle en a laisser tomber le plumeau qu’elle tenait à la main, et bien que le vit de son jeune fouteur n’ait pas assez de dimension pour remplir son objet élargi par le fréquent emploi qu’elle en a fait, elle n’en a pas moins de plaisir, et on ne l’entend plus dire : Finissez donc, M. Jules, au contraire, elle serre les cuisses pour mieux engaîner l’outil ; un mouvement convulsif agite ses fesses ; le moment de la crise approche ; elle va recevoir les premiers jets d’un foutre qui n’a encore coulé pour personne ; elle n’a plus d’autre pensée : en vain la mère de l’écolier fait entendre la sonnette, appelle Justine. Bas ! Justine presse sa monture, entr’ouvre sa charnière avec une agilité incroyable en poussant de profonds soupirs et en disant : Va, mon roi ; va, mon ange. Oh ! oh ! quel plaisir tu me fais avec