Page:Les Veillées des maisons de prostitution et des prostituées.djvu/21

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 17 —

rien de plus doux, en effet, que la langue d’un chien, et vous figurez-vous, mesdemoiselles, quelles sensations délicieuses on doit éprouver quand cette langue se promène du haut en bas et du bas en haut de notre clitoris, et appelle la décharge. Pour moi, dans mon jeune temps, quand il m’arrivait quelquefois de me livrer à cet agréable exercice, on eut pu me prendre pour hermaphrodite, tant je bandais ; ma lentille se grossissait et s’allongeait d’une manière effrayante, au point de dépasser quelquefois les babines de plus de trois pouces.

Mais passons au troisième Tableau.