Après y avoir un peu rêvé, voici la solution que j’ai trouvée. Le procédé que j’emploie est double.
D’abord, je prie M. Crépieux-Jamin de dresser une hiérarchie de moralité comprenant tous les documents envoyés, c’est-à-dire 22 personnes.
C’est un travail de rangement auquel il ne faut attacher aucune idée de précision, car je me sentirais incapable de le contrôler dans le petit détail : je ne sais pas si tel de ma série honnête est supérieur à tel autre de la même série, et de combien il lui est supérieur.
Sur la valeur de ce classement en série hiérarchique, M. Crépieux-Jamin ne se fait pas plus d’illusions que moi : « Il va sans dire m’écrit-il, que le classement hiérarchique n’est pas autre chose qu’une indication à peu près, une manière de préciser ma pensée… » Voilà qui est bien.
Nous nous sommes du reste expliqué sur la signification de ces classements, et nous avons dit qu’ils représentent une vérité approchée.
Je reproduis l’ordre donné par M. Crépieux-Jamin, avec des italiques pour les criminels.
Supérieurs |
L. Croquet |
1 | |
Victor |
2 | ||
Carron, le parricide |
3 | ||
Moyens |
Mme Galtié |
4 | |
Jules D |
5 | ||
Bour |
6 | ||
Cer |
7 | ||
Hoyos |
8 | ||
Cuni |
9 | ||
Insuffisant |
Henri Bill |
10 | |
Soufflot |
11 | ||
Far |
12 | ||
Legu |
13 | ||
Vidal | 14 | ||
Bris |
15 | ||
L’inverti |
16 | ||
Gaspard |
17 | ||
Inférieurs |
Eyraud |
18 | |
Tilloy |
19 | ||
Auguste S |
20 | ||
Nouguier |
21 | ||
Vallat |
22 |