cette écriture toute la finesse d’esprit de Caro ». Je crois saisir les fluctuations de la suggestion dans ces lignes, écrites par Mme Forichon :
N° 19. — Bien difficile à coter et à juger d’après la seule signature de la lettre, car la lettre est-elle de la même main ? Si oui, la pensée du signataire était bien absente en l’écrivant. La signature révèle un esprit clair, imaginatif, avec beaucoup de grâce et de vivacité dans la pensée. Un peu banale, et cependant d’une élégance qui sort de l’ordinaire.
M. Crépieux-Jamin est celui qui a serré la vérité de plus près ; il a écrit du petit employé : « Il y a ici plus de bon
Fig. 32. — Commencement d’une lettre d’invitation que m’écrivait Alexandre Dumas fils.
21 et 21 bis. — Claude Bernard et un publiciste scientifique qui ne manque pas de mérite. S’il se reconnaît dans l’échantillon de son écriture que je publie, il ne m’en voudra pas de lui avoir préféré Claude Bernard, dont il serait le premier à attester la supériorité.
Les graphologues se sont bien tirés de la comparaison.
Voici, par exemple, les deux diagnostics de M. Crépieux-Jamin. Ils me paraissent tout à fait bien. Il a fallu vraiment