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cette correspondance. Si je vous écris mes fredaines, écrivez-moi les vôtres avec Grand-pine, à qui vous souhaiterez le bon jour de ma part, ainsi qu’à vos charmantes compagnes. Assurez-les que je serai toute la vie, ainsi qu’à vous,
La plus tendre amie,
Laure de Fondeville.
Elle fut environ un mois sans m’écrire. Pendant cette intervalle, Grand-pine tomba malade, et mourut au bout de quelques jours. Notre douleur fut vive ; nous perdions la cheville ouvriere de notre communauté. Mais sa sage prévoyance fit choix d’un successeur, qui parvint à nous le faire oublier. J’ai encore la lettre de ce pieux anachorette, par laquelle il nous re-