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» Revenue de mon assoupissement, je l’embrassai ; je pris un verre de liqueur ; je me r’habillai, non sans émouvoir encore mon amant ; mais pour cette fois je ne lui voulus accorder que des baisers. Son vit étoit encore menaçant. Il me dit : Tu vois, ma belle, l’effet de tes charmes. Me laisserois-tu sans secours ? Tout en me disant cela, il conduisit ma main sur ce terrible outil. Je suis bonne, je me laissai vaincre ; je le branlai délicatement, et de l’autre main je claquois son énorme fessier. Pour cette fois il fut lent à décharger. L’œuvre consommé, je luis dis : tu dois être content, ne me demande plus rien ; je pars. En effet, il me fit descendre par un petit escalier dérobé. Je pris un fiacre, et je me rendis chez mon chevalier.

« Sitôt que celui-ci m’apperçut, il