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me fit encore éprouver quelques douleurs, mais qui furent suivies de torrens de plaisirs, dans lesquels nous nous noyâmes. Il resta après l’éjaculation quelque-temps dans la même posture ; je cherchai à lui rendre son premier état, sa pine n’avoit point quitté ma grotte, et je sentois petit à petit revenir sa puissance. J’inventois mille moyens d’agaceries. Je le mordois légerement, je le pinçois ; mes levres brûlantes suçoient sa poitrine enflammée. Ma langue alloit chercher la sienne ; enfin, j’en vins à mon honneur, et je sentis mon con rempli d’une pine puissante et vigoureuse. Pour cette fois il mit mes jambes sur ses deux épaules, ses deux mains fouettoient, pinçoient mes fesses, qui s’élevoient avec force et agilité. Nous nous pâmâmes, et restâmes deux heures entieres anéantis.