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dans toutes les cellules. Je les trouvai toutes endormies ; je leur dis qu’il falloit se rendre au chœur, et elles s’habillerent. Je trouvai Grand-pine et sœur Ursule dans la même attitude ; Il me vint une idée : je les découvris tout doucement, ils étoient nus. Je branlai Grand-pine ; il ne se réveilla point, mais je lui vis faire toutes les démonstrations d’un homme qui jouit en rêve. Cependant à l’éjaculation, il tendit les bras ; je me mis au devant, il me serra, et cet attouchement le réveilla ; il ouvrit les yeux ; quelle fut sa surprise lorsqu’il me vit dans ses bras. Il faut se lever ; lui dis-je, il m’obéit, et sauta au bas du lit. Je voulus réveiller sœur Ursule de la même maniere, et j’y réussis à merveille. J’introduisis doucement mon doigt dans sa matrice, et je lui chatouillai le clitoris. Si tu avois vu comme elle se démenoit,