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sine des baisers. En partie nues, nous jouissions de la vue de nos appas, et chacun d’eux étoit baisé, caressé, fêté.

Nous avions eu soin d’apporter le sopha à la table. Grand-pine et Laure étoient assis dessus, moi à côté, entre sœur Ursule, et sœur Saint-Ange : le prieur renversa sa jeune épouse, lui mit les jambes sur les épaules, l’éleva fortement, et voulut l’enculer. Ah ! deux pucelages en un jour ! c’est trop, dis-je. Il m’obéit, et s’aligna droit au con. Laure s’agita violemment, et seconda de tout son pouvoir les desirs de son fouteur.

Pour nous, nous nous branlâmes, puisque nous n’avions que cette ressource ; mais nous nous branlâmes à nous pâmer. Cet assaut fini, nous reprîmes et nos chansons et nos verres. Grand-pine nous récita pres-