venons d’éprouver ne sont que des avant-goûts des jouissances qui vous sont destinées. Vous avez vu que votre doigt a entré sans peine dans cette pareille cellule que je possede, eh ! bien, c’est la suite de ce sacrifice dont je vous parle.
J’ai été comme vous ; mais un homme aimable sût me ravir cette fleur, et me mit à portée de m’accoupler avec ses semblables. ll Comment un homme vous prodigue les caresses que nous venons de nous faire ? ll Sans doute, et frere Conard toutes les nuits renouvelles ce jeu. Je prétends bien aussi, pour récompenser sa tendresse pour moi, lui procurer le larcin de votre fleur ; vous voyez que je ne suis point jalouse. — Quoi ! un homme ? Je ne puis y penser sans rougir… — Bon, bon ; fadaise. La pudeur ne sert dans