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« toute la communauté te tend les bras. »

Merville,

Abbesse de ....

Je voudrois déja qu’elle soit ici. Nous espérons arranger tout cela à son avantage. J’ai fait parvenir sa lettre à son pere. Combien il sera charmé d’avoir retrouvé sa fille ! Effectivement, quel dommage qu’une si jolie personne soit victime de ses égaremens !

Sœur Ursule ne t’en veut plus, elle ignoroit ton indisposition ; elle te prie de bien te ménager : nous t’en conjurons toutes. Songes que tu es notre appui, que tes jours nous sont précieux. Nous t’envoyons des petites provisions, et souhaitons que ce petit présent te soit agréable.

Nous te baisons toutes cent fois,