Page:Les Plaisirs de l’ancien régime, et de tous les âges, 1795.djvu/50

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 34 )
Mais puisque, par un sort que je ne comprends pas,

Tous quittent mes autels, s’arrachent de mes bras,

Et méprisant l’honneur de foutre Messaline,

Les lâches, chez le Roi, se font branler la Pine,

Portent à l’assemblée un Vit qui m’était dû ;
Paillards, je vengerai l’injure de mon Cul.

Je veux, aux yeux de tous, paraître toute nue ;

Etaler mes appas, vous éblouir la vue,
Voluptueusement me branler devant vous :

Connaissez Messaline à de semblables coups.

Mon Con rebondissant, ce Con rempli de charmes,

Que vos Vits, tant de fois, arrosèrent de larmes ;

Ce Con, dont chaque Poil est un de vos bienfaits,

Bougres, je vous le jure, est cousu pour jamais :