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AVERTISSEMENT


Le lecteur ne trouvera plus à chaque nuit : Ma chère sœur, si vous ne dormez pas, etc[1]. Comme cette répétition a choqué plusieurs personnes d’esprit, on l’a retranchée pour s’accommoder à leur délicatesse. Le traducteur espère que les savans lui pardonneront l’infidélité qu’il fait en cela à son original, puisqu’il a d’ailleurs si religieusement conservé le genre et le caractère des contes

  1. Cet avertissement est de M. Galland. La suppression n’a lieu qu’à commencer de l’histoire de Sindbad le marin, page 58.