Page:Les Mille et Une Nuits, trad. Galland, Le Normant, 1806, II.djvu/343

Cette page a été validée par deux contributeurs.
333
CONTES ARABES.

se leva fort impatient de savoir ce qui se passeroit entre Agib et Bedreddin. La sultane satisfit son impatience sur la fin de la nuit suivante, et reprit ainsi la parole :