Page:Les Lois de Manou, trad. Strehly, 1893.djvu/25

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avons suivi dans notre traduction, sauf en deux ou trois passages où nous avons préféré la leçon autorisée par Koullouka ; nous avons eu soin d’ailleurs de signaler en note ces infractions à la règle que nous nous étions proposée.

Enfin l’Annual Report de la Société asiatique de Bengale annonce dans son numéro de février 1892 une nouvelle édition du Mânava Dharma Sâstra par le Pandit Bhîma Sena Sarman, précédée d’une longue et importante introduction écrite en sanskrit et en hindi, où l’auteur « explique ses raisons pour republier l’ouvrage de Manou, et promet de jeter beaucoup de lumière nouvelle dans son commentaire. Sept fascicules ont déjà paru et le Pandit en est encore au milieu de son introduction dans laquelle il discute l’identité de Manou, la date à laquelle il a dû écrire, l’objet du Livre des Lois et autres questions de ce genre ». Malheureusement l’impression de notre travail était déjà trop avancée lorsque nous avons eu connaissance de la dissertation du savant indien, pour qu’il nous ait été possible d’en profiter.

Un index[1] placé à la fin de ce volume permettra au lecteur de retrouver facilement toutes les indications dont il pourrait avoir besoin ; les renvois de cet index se rapportent aussi bien aux notes[2] qu’au texte même de la traduction.

  1. On trouvera avant l’index une liste, heureusement peu étendue, d’errata qui nous ont échappé dans la correction des épreuves.
  2. Les numéros des notes correspondent à ceux des vers.