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J’ai, pour te satisfaire,
Employé le beau jeu.
Ça, fouterai-je en cuisse,
Ou près de ton tetton ?
Mais point de chaude-pisse
Dans ton sacré con.

Je fus pris par l’oreille
En ce taudion ;
Ce ne fut pas merveille,
Voulant foutre un con ;
Connu pour Calotin,
Je n’eus qu’à me sauver,
En quittant la Putain,
Sans pouvoir l’embrasser.


Les Fouteries chantantes, 1791 - Fleuron - Soleil