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Si jamais tu recule,
Ecoute-moi soudain,
Aussi-tôt je t’encule,
Infernale putain.

Je sens mon vit qui dresse ;
Voyons ton conin,
Branle-moi, ma déesse,
Et que mon engin,
Sans se gêner farfouille,
En ton fameux quibus,
Ou qu’on coupe ma couille
Jusqu’au rasibus.

Je te fouts en levrette,
Ma sacrée Putain ;
Chatouille ma roupette :
Pour ce beau dessein,
Regarde mon habit ;
Il annonce un fouteur ;
A mon superbe vit,
Ne fouts donc pas malheur.

Aujourd’hui pour te plaire,
D’un bel habit bleu,

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