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Si cela est, que mon con bave ;
Tu peux foutre d’autres appas ;
Je ne fouts plus qu’avec Barnave.  (bis)

Cazalès.


Par pitié, souffre, mon tendron,
Que mon vit, droit comme une quille,
Pénètre jusques dans ton con ;
C’est par-là que Cazalès brille :
Crois-moi, retranche ce ton-ci ;
Cesse de faire la bougresse,
Car je ne partirai d’ici,
Qu’après t’avoir tâté la fesse.  (bis)

La Branleuse.


Retire-toi, moule à vilain,
Avec ton bougre et plat visage :
Tiens, regarde-le ce conin,
Sans y foutre un pouce d’ouvrage.
Or, c’est moi qui te le prédis,
Et je t’en donne ma parole ;
Si tu y fouts jamais ton vit,
Je veux attraper la vérole.  (bis)


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