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L’outil désiré


Ah ! qu’un bon vit
Me serait ici nécessaire,
Ah ! qu’un bon vit
Me guérirait de tout souci.
Il m’en faut un, malgré ma mère,
Car, ma foi, l’on ne peut rien faire
Sans un bon vit.

Mon pauvre con
Le jour et la nuit me démange,
Mon pauvre con
Soupire après un bon luron.
J’ai beau frotter, rien ne l’arrange,
Il n’a pas la vertu d’un ange,
Mon pauvre con.