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L’Empereur, très ému, pénétra doucement dans la pièce, pendant que Jonas, derrière la porte, regardait par le trou de la serrure.

— Elle a fait baisser le gaz, se dit l’Empereur, c’est regrettable, je vais le rouvrir.

Et il redonna de la lumière.

Alors il vit sa femme, nue, les cheveux épars, étendue sur le dos, les seins saillants, les cuisses ouvertes, la tête renversée, les yeux demi-voilés, ne faisant plus un mouvement, mais murmurant :

— Ah ! viens, viens, mon petit homme aimé, mon trésor, viens, donne-moi ta jolie quéquette, ta petite bibite, fourre-la dans mon con, bien avant, jusqu’aux couilles.

— Elle m’appelle, dit l’Empereur, elle ne me paraît pas bégueule, c’est le moment d’oser.

Et il s’approcha, rejeta sa robe de chambre, et monta sur le lit.

— Me voilà, créature divine, me voilà, c’est ton petit homme, murmura-t-il.

— Ah ! fit l’Impératrice sans changer de position et sans rouvrir les yeux davantage, c’est toi, Charles ?