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hanneton, — il faut me rendre au désir de ma femme. Allons, espérons que la vue de son cul me ragaillardira.

— Courage, sire.

— J’en aurai. Ah ! si l’Impératrice voulait seulement me sucer un instant la queue pendant que je lui mangerais le gripart, ça irait peut-être ; mais ces princesses sont d’une bégueulerie ! Elles ne savent rien. Aura-t-elle ôté sa chemise seulement ? Moi, je rentre à poil.

— C’est un tort, sire, fit remarquer Jonas, car elle va voir tout de suite que vous ne bandez presque pas.

— C’est vrai, passe-moi ma robe de chambre. Là, maintenant j’y vais. Accompagne-moi, Jonas, tu te tiendras à ma portée, dans la pièce voisine, qui sait, j’aurai peut-être besoin de toi. Allons, viens.

Jonas accompagna son maître jusqu’au seuil de la chambre à coucher impériale.

Par prudence, Marie, en revenant de chez l’Empereur, avait baissé le gaz, car sa maîtresse se tordait, spasmée, sur sa couche, appelant à cors et à cris une pine chérie.