qu’il franchissait chaque jour, et au moment
où il allait disparaître, l’Empereur lui
renouvela sa recommandation.
— Donc, demain soir, un peu avant minuit, ici.
— Comptez sur moi, sire.
Et Jouas disparut, descendant un **escalier qui le conduisit à un couloir souterrain. Ce couloir, très long, aboutissait à une petite maisonnette, sise non loin du palais. De sorte, qu’après dix minutes de marche, Jonas se trouva chez lui où il retrouva Juanita — c’était le nom de sa maîtresse — qui se lavait le cul en l’attendant.
— Tu sais, lui dit simplement Jonas, tu n’es qu’une sale garce, je t’avais défendu de te laisser aller avec ce cochon d’Empereur, et tu as joui comme une vache.
— Dame, que veux-tu ? Tu l’avais mis dans un tel état, ton Empereur, que n’importe qui y serait allé de son voyage.
— Je ne voulais pas qu’il décharge et il a déchargé.
— Oh ! oui, et copieusement, je t’assure. J’en ai encore l’intérieur du con plein de foutre.