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flés, le con ouvert, le bouton humide, se demande quelle bonne surprise vous lui ménagez. Bien à point, vous sortez de l’eau ; je vous essuie, caressant de temps à autre votre belle bite, puis, tout parfumé, la pine haute, vous vous élancez vers cette porte (la porte de votre chambre à coucher) qui s’ouvre comme par enchantement, et grâce encore à un ressort dissimulé dans la boiserie que je pousse, et…

Jonas ne put achever sa phrase. Un cri, cri de surprise et de joie poussé par l’Empereur, l’arrêta. Jonas avait en effet pressé sur un ressort, et les portes de la chambre à coucher s’étaient ouvertes ; puis, sur le lit, qu’un jour savamment ménagé éclairait, une jeune femme nue, de la corpulence et de la taille de la future Impératrice, à la poitrine abondante et au fessier solide, se roulait, semblant attendre la suprême caresse.

L’Empereur, fougueux, bondit jusque sur le lit, comprenant enfin toute la machiavélique rouerie de son confident, empoigna la belle commère à plein corps, la mordit rageusement, l’égratigna, puis, lui