Page:Les Folies amoureuses d’une impératrice ; Catéchisme libertin, 1900.djvu/109

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Épigramme


Certain marinier malotru,
Contre un con à son vit rebelle,
Dieu jurait et se plaignait dru,
Que la mariée était trop belle.
La fillette disait : Hélas !
L’amant criait : Saint Nicolas !
Vainqueur n’en pourrai-je point être
Bougresse, lâche-moi du con,
Je te quitte de la façon ;
Mon vit n’est point vit petit-maître.