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Marie-Stuart, Thévenot, de Cléry, dans cette maison vous pouvez en donnant dix francs, jouir du spectacle de deux femmes qui s’amusent ensemble et se livrent ainsi à tous les excès de la débauche.

Les rues Saint-Foix, des Filles-Dieu, le passage du Ponceau, les rues du Vert-Bois, Neuve-Saint-Denis, Neuve-Saint-Martin et le passage Lemoine recèlent encore des putains ; suivez le Boulevard jusqu’aux petits théâtres, les rues des Marais, d’Angoulême sont pourvues. Les rues Saintonge, des Filles du Calvaire, vous offrent encore des ressources nombreuses, paillards du Marais, et les rues Basse et Amelot ont des branleuses pour la canaille. Ô Paris ! Paris ! que de ressources tu possède pour la fouterie, sans parler de ces putains isolées qui courent les rues, les spectacles, de ces femmes à partie qui font circuler leurs adresses chez les amateurs par des maquerelles ad hoc, les mar-