Page:Les Dames de maison et les filles d’amour.djvu/23

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 17 —

prendre possession de ton con ! s’il veut foutre, proposes-lui de te mettre nue, de lui faire ce qu’on nomme des polissonneries ; s’il consent à augmenter la somme que tu as déjà reçue, laisses-toi tomber mollement sur le lit et qu’il s’échine à te limer tant que bon lui semblera, surtout garde-toi bien de prendre part à ses transports amoureux, à son tendre délire, sois immobile, et que ton con soit le trou d’une planche à bouteilles ! ne le perds pas de vue, et si tu le vois sur le point de décharger, fous-le à la porte d’un coup de cul et feins toi-même de mourir de plaisir. Agir autrement, c’est s’exposer souvent à devenir mère, et une bonne putain doit éviter ces accidens, qui exposent les femmes à perdre leurs agrémens, et à n’être plus qu’une conasse ouverte à deux battans.

Quand ton fouteur reviendra à lui, soupire amoureusement, en prononçant d’une voix entrecoupée : Ah ! mon ami,