Chez madame Sainte-Foix, au Palais-Royal, arcade et numéro 102.
Chez madame d’Estainville, au Palais-Royal, du côté de la rue neuve, no . 74.
Madame Louis, rue de Lancry, suivant le nouveau spectacle.
Chez mademoiselle Saint-Maurice, hôtel de Genève, no . 29, à l’entresol.
Chez madame Gautier, au coin de la rue de Rohan, au grand balcon.
Chez mademoiselle Pinotte, Palais-Royal, no . 50, au premier.
Et chez madame Augear, rue du Coq.
Voilà les lieux, où l’on peut s’adresser sans façon, mais non sans argent ; afin d’y récréer le petit naturel, que chacun sent de la providence dont nous implorons les influences bénignes ; pour que nos freres soient toujours dans un état robuste, et propre à répondre dignement aux desirs qu’ils font naître, et qu’ils éprouvent dans la basse sphère de la moralité.
Vive la liberté !
Vive la liberté !