ne voulut jamais se prêter à faire davantage. Je
ne fermai pas l’œil de la nuit, mon vit resta
pendant six mortelles heures aussi raide qu’un
bras de saint ; mais le jour arriva, je fis mine
de dormir, la vieille se leva et alla faire ses emplètes
du matin, tel que lait, café, braise, etc.
Elle n’eût pas fermé la porte que la couverture
et la chemise de Louise furent levées.
Jamais on ne verra de plus belles cuisses, un plus
beau ventre, un plus beau poil, que je n’en
vis alors ; qu’on juge de la beauté de son con,
quand je dirai qu’il m’inspira de suite le désir
de la gamahucher ; j’y descendis, aucune odeur
ne s’y faisait, c’était frais comme une rose du
Bengale ; mais admirez un peu le caprice humain,
j’y allais volontairement et de tout cœur,
eh bien, quand je voulus m’en ôter, elle y repoussa
ma tête de ses deux mains et la serra
tellement avec ses deux cuisses, que j’avais
réellement la tête à l’étau : cette action me
déplut. Je me dépêchai cependant de la satisfaire,
après quoi je me vengeai en lui enfonçant
rudement mon vit dans le corps,
et en faisant exprès de limer jusqu’à ce que la
vieille arrive ; elle me trouva allant plus fort
que jamais, et je ne m’arrêtai qu’après avoir
lâché le foutre que j’avais amassé toute la nuit. Je
déjeûnai, partis, et n’y retournai plus. Six ans
après, je la rencontrai à la danse, j’avais une autre
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