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gueulisme, elle s’y résolut donc, après m’avoir préalablement lavé avec du vinaigre et de l’eau de Cologne, et à condition que je me retirerais à temps. Je la fis mettre à genoux sur un oreiller, ce qui fit qu’elle se trouva juste à la hauteur de mon vit, je fis approcher derrière elle une autre de celles que j’avais déjà repassées et à laquelle je maniais les tétons, les fesses, etc. Mais cette double jouissance faillit me devenir fatale, car je m’oubliai et je laissai partir l’huile de Vénus dans sa bouche, aussitôt qu’elle le sentit elle me mordit avec rage et me fit éprouver une douleur horrible.

Je l’aurais volontiers assommée, si nous eussions été seuls, mais je fus contenu par la présence des autres, qui sans aucun doute s’y seraient opposées ; j’aurais pleuré tant je souffrais, et pourtant elle ne me firent pas grâce de la dernière, qui était en même temps la plus laide, seulement je pris un moment de repos pour laisser la douleur se calmer : comme je leur demandais ce que je pourrais mettre sur la morsure, celle qui en était l’auteur me répondit, de la merde. Tonnerre de dieu ! lui dis-je, tu n’en auras pas le démenti, et de suite saisissant mon laidron, je la fis se courber et mettre les mains sur le canapé, et je l’enculai. Je ne sais si c’était la première fois que cela lui arrivait, mais je sais qu’elle poussa des cris aigus, qui me firent