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Son successeur fut un sot,
Il en perdit la tête,
C’est qu’il falloit sans raison,
Qu’il s’amusat près d’un con,
Ce n’est pas ma faute ô gué,
Ce n’est pas ma faute.

LA MAILLY.

J’ai réuni les plaisirs
Dans la cour de France,
Tout y flattoit mes désirs,
Le foutre et la bombance.
Mais maintenant aux enfers,
Plus de vits dans l’univers,
Ce n’est pas ma faute, ô gué,
Ce n’est pas ma faute.


En ce moment un coup de tonnerre annonce un changement ou au moins une révolution dans l’empire infernal ; chacun se sauve, et la quatrième conférence commence ci-après.