Page:Les Amours de garnison, 1831.djvu/76

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 66 —

En revenant de son extase voluptueuse, elle s’écria : Ah ! quelle félicité que de foutre, quelle douce agonie on éprouve ! c’est ainsi qu’il faudrait mourir.

Elle ouvrit les bras et les jambes, alors je me retirai, et madame de Lafo… qui ne perdait pas la tête, m’empoigna le vit. Comme je bandais encore, sa main fit renaître toute ma vigueur ; elle se laissa tomber sur le canapé, sans me lâcher et s’enfonça elle-même mon vit dans le con ; je ne pouvais en conscience résister à cette invitation, et je tirai un second coup avec elle. Sans débander, tant j’étais en feu, elle se retourna et me dit, en riant : Fête donc aussi le voisin, tu as eu mon pucelage ; je l’enculai et l’enragée se branla, tandis que je lui déchargeais dans le cul.

Madame Dejo.... nous dit quand nous eûmes terminé : C’est une variante que l’enculade ; mais nous ne goûtons pas le même plaisir que par le con, ce qui prouve que ce n’est pas naturel. — Tu as raison, ma belle amie, lui répondis-je ; mais la satiété fait naître de nouveaux